Aujourd'hui a commencé comme n'importe quel vendredi pour Jenn. Elle ne travaillait pas le vendredi à son travail donc elle ne s'est réveillée qu'à 10h30. Toujours en pyjama, elle est allée dans son salon. Assise sur son canapé et a allumé la télévision. Au moment où elle se détendait, sa porte d'entrée a été enfoncée dans un énorme fracas et un chiffon lui a couvert le nez et la bouche. Après avoir inhalé le produit chimique à l'odeur maladive, elle s'est évanouie.

Elle s'est réveillée pour se retrouver sur le sol, ses jambes tendues et picotées, et elle ne pouvait pas atteindre ses yeux. Au fur et à mesure que le voile du produit chimique disparaissait, elle réalisa que ses mains étaient tirées derrière son dos, et chaque fois qu'elle bougeait ses jambes, ses bras étaient tendus plus fortement. Retournée dans la réalité, elle ouvrit les yeux et réalisa qu'elle était en HOGTIED !!!! Elle paniqua, tirant et se tortillant sur le sol mais n'alla nulle part. Elle a crié à l'aide mais une sorte de tissu dans sa bouche a bloqué le son. Du ruban adhésif sur ses lèvres le scellait avec du tissu à l'intérieur. Elle a évalué sa situation après avoir calmé ses pensées et s'est souvenue de la dernière fois où elle avait été ligotée de cette façon alors qu'elle fréquentait l'école secondaire.

Son professeur de gym, Jim, appela Jess retour à l'école une semaine après le début des vacances d'été, leur disant qu'ils avaient laissé des choses dans leurs casiers. À son arrivée, le professeur de gym musclé a fait un court travail en attachant elle et une autre fille avant de les lier à des cerceaux de basket-ball, chacune tenant l'autre avec leurs poids respectifs.

Cependant, peu de temps après leur liaison, il a reçu un appel téléphonique et est parti en disant: "Je reviendrai." Elles espéraient qu'il ne revienne jamais et leur chance est qu’il ne l'a jamais fait. Trois heures plus tard, la police les a secourus. Ils ont découvert plus tard que Jim avait été arrêté et accusé de p é d o p h i l i e. La preuve a été découverte par un jeune de 19 ans nommé Benjamin qui travaillait à la réparation d'ordinateurs et a trouvé des images sur Jim ' s ordinateur tout en effectuant une vérification du système. Les photos numériques l'ont lié à plusieurs affaires d'agression et d ' e n f a n t s disparus.

Elle est revenue au présent où un reportage de dernière minute a été diffusé sur la télévision toujours en fonctionnement. Le rapport faisait état d'une série d'effractions dans toute la ville d'Algoma, que le voleur avait été découvert à pied et, lors de son arrestation, portait plusieurs milliers de dollars de bijoux dans ses poches: il avait également une bouteille de c h l o r o f o r m e et un chiffon qu'il a admis avoir utilisé pour les propriétaires subjugués qu'il a rencontrés. Il a été appréhendé par un passant qui a été témoin d'une effraction. Ils ont présenté un entretien avec l'homme expliquant ce qui s'était passé, puis ont demandé à toute personne ayant subi une effraction d'en informer le service de police. Au fur et à mesure que le reportage se répétait, elle pensa que l'homme de l'interview lui semblait familier. Il ressemblait à Benjamin, qui avait précédemment sauvé Jess et elle de Jim.

Tout ce que Jenn avait à faire était de rester attachée et d'essayer de cracher l'objet de sa bouche, qu'elle soupçonnait maintenant d'être une paire de sa culotte. Ses amis travaillaient aujourd'hui et elle n'avait aucun projet avant dimanche avec Jess. Jenn s'est assoupie puis s'est endormie en espérant que quelqu'un la sauverait.

Jenn se réveilla en voyant quelqu'un qui la regardait. «MMHHHHP !!» elle a pleuré. Elle a dû sauter d'un pouce du sol. Elle leva les yeux vers la silhouette, «Le Benjamin toujours si persévérant», se dit-elle et sourit, «mon héros!» Elle ne l'a jamais rencontré auparavant, mais l'a reconnu à partir de photos d'actualité et de vidéos télévisées.

Elle se demanda pourquoi il restait là, mais quand il parlait, cela devenait plus clair. «Eh bien, eh bien, si ce n'est pas Jennifer, je vois encore des ennuis. Sur la base de ce regard sur ton visage, tu me reconnais, mais tu n'en sais pas vraiment beaucoup sur moi. Jenn était inquiète, car il ne faisait aucun effort pour la libérer. Il fit juste les cent pas autour d'elle puis continua: «Tu vois, j'ai toujours ... aimé ... toi et tes amis. En fait, je viens de voir Erica et j'ai l'intention de voir Jessica plus tard.

"UUMMM HMMP HMMM !!!"

«Qu'est-ce que c'était Jennifer? On dirait que vous voulez que je vous délie. Etes-vous sûr que c'est ce que vous voulez? Je pourrais aggraver les choses pour vous.

«MMMMHHP !!» Jenn a crié dans son bâillon avec des yeux larmoyants.

Ben est parti et est revenu avec un sac polochon puis souriant à Jenn a sorti un appareil photo reflex numérique du sac, l'a allumé et a pris plusieurs dizaines de photos d'elle sous plusieurs angles. Il est ensuite retourné au sac, d'où il a sorti une barre d'écartement avec des chevilles sur des maillons de chaîne. Il a commencé à détacher une jambe de ses mains et, malgré ses difficultés, a resserré la cheville de Jenn dans une manchette, puis a fait de même avec son autre cheville dans l'autre manchette, laissant ses bras tirés en arrière et encore attachés.

Toujours en pyjama, Jenn ne savait pas à quoi servait la barre entre ses jambes et ne s'en souciait pas vraiment pour le moment. Tout ce qu'elle voulait, c'était être libre. Elle ne savait pas pourquoi Benjamin faisait ça. Il l'a pratiquement sauvée ainsi que Jess il y a deux ans. Même s'ils ne se sont jamais rencontrés, elle l'a imaginé plus humain que cela.

Jenn se retourna et se poussa avec ses jambes, la repoussant contre son canapé. Elle était assise là en larmes pendant que Ben regardait. Il s'approcha d'elle et retira lentement le ruban adhésif de sa bouche, puis en sortit la paire de culottes rose pâle trempée. Ce fut la dernière chose qu'elle vit avant que Ben ne lui glisse un bandeau sur les yeux.

Jenn a demandé à Ben, les larmes coulant de sous le bandeau: «Pourquoi me fais-tu ça?»

«Parce que tu en as besoin», répondit-il en la retournant et en lui déliant les poignets. La tenant doucement, il la vêtit d'un justaucorps en latex avec des manches fermées au bout par des loquets, comme sur une ceinture de sécurité de voiture. Il a relâché ses chevilles pour le faire. Jenn ne l'a pas combattu. Elle se sentait étourdie et incapable de penser correctement.

Avec Jenn entièrement dans la tenue placée sur son pyjama, il boucla ses bras derrière son dos comme une veste droite et sous une sangle qui pendait juste sous ses seins. Il a ajusté un cadran sur la plus grande partie de la boucle qui arborait le temps en heures qu'il a réglé à 12. Il y avait deux fentes sur la partie réceptrice avec le cadran, l'une tenait son autre main en arrière et l'autre ajustait la sangle de l'avant qui est venu entre ses jambes. Il passa sur ses bras pour les maintenir. Il y avait une petite poche à l'intérieur de la sangle dans laquelle Ben a mis un vibromasseur trop bas. Jenn ne s'y attendait pas. Quand il a soudainement resserré la sangle, il a poussé le vibrateur directement dans ses parties intimes.

La secousse soudaine la réveilla de son état passif mais il était trop tard lorsqu'elle entendit le déclic du loquet. Elle s'est débattue et a dit à Ben: «Benjamin, s'il te plaît, laisse-moi partir. Je vous en prie, je ferai n'importe quoi. Des larmes coulaient à nouveau de ses yeux sous le bandeau.

«Jennifer, arrête de m'appeler Benjamin. Vous ne m'avez jamais connu quand j'ai utilisé ce nom. Appelez-moi Ben, et non je ne vous laisserai pas partir. C'est un peu trop tard pour ça maintenant. Tenez bon, j'ai encore une chose pour vous.

«Arrête de m'appeler Jennifer! Je déteste ce nom! cria-t-elle, essayant de bloquer tout ce qu'il s'apprêtait à faire. "Veuillez détacher ... MMMPHHHHH MMMMMM HMHHMMMHHHH !!!!!" Elle sentit la balle s'insérer dans sa bouche. Il était lisse et elle le sentit s'enfoncer davantage dans sa bouche alors que la sangle se resserrait à l'arrière de son cou. Elle n'avait aucune idée de ce que c'était. Elle s'est simplement allongée et a pleuré, remarquant de plus en plus le vibrateur. "Ça fait tellement de bien!" elle pensait. Si bien qu'elle n'a pas remarqué ce qui était mis dans ses oreilles. Quand elle en sortit, elle se sentit tellement excitée, mais le vibrateur était si bas qu'elle n'obtiendrait jamais d'orgasme. Elle était tellement frustrée à ce moment-là qu'elle a presque oublié ce qui venait de se passer. Revenant à la réalité, elle remarqua le silence de tout sauf sa respiration et ses gémissements. Elle tira de toutes ses f o r c e s en vain; elle était suffisamment bloquée et totalement frustrée. Elle pouvait se tenir debout et marcher mais les yeux bandés, c'était difficile.

Elle devenait folle pensa-t-elle. Elle savait ce qu'était la privation sensorielle mais elle ne l'avait jamais expérimentée auparavant. C'était effrayant et elle s'est perdue à vouloir un orgasme, mais le vibrateur est resté stable; jamais assez pour le plaisir de la libération.

La minuterie dans son dos indiquait maintenant moins d'une heure restante. Jenn tournait en rond, criant dans le bâillon comme un bébé à cause de la privation sensorielle, des taquineries et de sa situation générale. Bien qu'elle ait trouvé cela incroyablement excitant, elle voulait MAINTENANT être libre!

Les heures étaient difficiles pour elle. Elle pensait avoir entendu des choses en se promenant dans la maison. Elle ne savait pas qu'il y avait une minuterie sur la camisole. Elle a essayé d'ouvrir la porte d'entrée, mais il y avait quelque chose sur la poignée de la porte qu'elle ne pouvait pas voir à travers le store. Pour tout ce qu'elle savait, elle serait là jusqu'à dimanche soir où, espérons-le, Jess viendrait la trouver et la libérerait. Jenn a perdu espoir. Elle était allongée sur le sol du salon en sanglotant, des larmes remplissaient le bandeau de soie et elle n'avait aucun espoir de libération pendant près de deux jours.

Jenn dormait quand les boucles se sont ouvertes. Il était tard; elle ne l'a jamais remarqué dans son sommeil. Elle s'est réveillée au soleil du samedi matin. Il lui retira le bandeau pendant son sommeil. Elle a rapidement découvert qu'elle avait un autre petit problème, les manches formaient des mitaines à la fin et elle ne pouvait pas décompresser la veste ou déboucler le bâillon !! Elle a vite découvert cependant qu'elle avait trop réagi et avait juste besoin de ralentir et d'essayer plus fort. Elle a trouvé son moyen de sortir de tout le désordre et a regardé autour de sa maison.

La porte a été réparée et les objets qui lui ont été volés étaient sur le comptoir de la cuisine. Elle ne pouvait pas comprendre pourquoi Ben venait de partir sans lui faire plus, mais pour une raison quelconque, elle décida qu'elle l'aimait toujours.

Il y avait une note par les marchandises retournées qui disait:

Chère Jennifer,

J'espère que vous appréciez mon aide. Vous devez admettre que votre situation aurait été pire sans cela.

Vous devez savoir que c'est notre petit secret. Si vous dites que vous ne serez pas aussi chanceux la prochaine fois que nous nous rencontrerons. Je dois y aller maintenant, donc jusqu'à la prochaine fois j'espère que tu t'es amusée. - BEN

ben63376